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sábado, 9 de abril de 2022

Non à la guerre!

 La guerre est un instrument impérialiste pour imposer de nouveaux espaces de contrôle géopolitiques et de spoliation des richesses des peuples soumis. Dans un conflit armé, les seuls bénéficiaires sont les oligarchies qui récoltent des dividendes tout en spéculant sur les misères, car la guerre est une bonne affaire dans le mode de production capitaliste. C’est toujours la classe ouvrière qui souffre des conséquences dévastatrices de la guerre. En revanche, les élites socio-économiques ne participent jamais aux premières lignes matérielles et physiques des conflits. La guerre est un monstre de politique infâme planifié dans les bureaux des oligarques, qui mettent sur le tableau les innocents sacrifiés en échange de profits fallacieux. Les drapeaux servent parfois uniquement à dissimuler les graves injustices sociales et l’état endogamique de corruption des castes qui subjuguent leurs propres peuples. L’internationalisme rassemble les êtres humains dans une dynamique d’émancipation collective, tandis que les nationalismes exacerbés profitent aux élites en semant la rancoeur et la peur en divisant la classe laborieuse. Celui qui entreprend une guerre est  délégitimé politiquement et moralement parce que les conflits armés ne font que ruiner et détruire les peuples. Les guerres sont inhérentes au néolibéralisme autoritaire qui sape les démocraties, et dont la voracité a besoin de la dichotomie dominants-dominés pour reproduire les structures systémiques financières. Les peuples doivent se positionner diamétralement contre la guerre parce que les travailleurs ne prospèrent que lorsque la paix règne grâce aux richesses collectives produites par leur travail. L’évolution est liée au pacifisme et à un imaginaire collectif d’émancipation de toute structure d'assujettissement. La guerre étant la plus absolue régression de l’être humain. La classe ouvrière doit crier avec ses cœurs battant à l’unisson :

"Arrêtez ces guerres maudites!
Que les épines n'oublient pas/
L'arôme des roses/
Que la paix soit le chemin d'évolution/
Du battement sempiternel de l'humanité."

Article publié dans l'Humanité le 8 Avril 


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