Le silence est un écho dans une structure métallique. Un jeu
d'ombres grimaçantes qui marchent sans se trouver. Une silhouette
contemple assise sur le sol la mise en scène du vide: un spectacle
magnifique de somnambulisme. L'ombre se lève et cherche désespérée le
mot approprié pour commencer à dessiner son visage. Une femme blonde
pleures; elle ne réussit pas à rappeler l'oscillation du trapèze. Un
chevalier lui offre son masque, mais elle essaie de présager seulement la mer, dont le mythe du retour éternel murmure: -le silence est la cicatrice du mot
La silhouette lui a recommandé de danser tandis qu'elle énumérait
chacune des pétales qui conformaient sa chorégraphie. La possibilité
existe dans l'épine de la fleur. Un chat apprend vite la versatilité du
silence. Tout acteur doit assumer l'essence du silence pour
réinterpréter la blessure.
À travers de mégaphonie ont interrompu le parcours de la crevasse qui prenait fin dans le cœur des funambules de la faim.
Ses yeux étaient une scène pour mourir. Le désespoir de ses mains en essayant d'être le vol en silence de ses oiseaux.
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