Ya no suenan las campanas.
La función ha terminado y solamente quedan las ratas corriendo alrededor de las sombras carcomidas.
La brisa huele a naftalina y los corazones se precipitan en el río congelado de un invierno infinito
Sylvia Plath mira desde las profundidades de la oscuridad del pájaro
que sobrevuela por los muros del subconsciente.
Podría rumiar tu verso y conversar con la muerte.
Trepar hasta tu boca y pedir clemencia
como un náufrago frente al mar.
La vida es la esperanza de un sicótico que anestesia su libertad para ser aceptado en el manicomio.
La agonía de Sylvia buscando desesperada su último verso
sin darse cuenta que las tinieblas envolvían inclementes su alma.
Les cloches ne sonnent plus.
Le spectacle est terminé, et seuls les rats restent, courant dans les ombres vermoulues.
La brise sent la naphtaline, et les cœurs se précipitent dans la rivière gelée d'un hiver sans fin.
Sylvia Plath regarde depuis les profondeurs de l'obscurité de l'oiseau
qui plane au-dessus des murs du subconscient.
Je pourrais ruminer tes vers et converser avec la mort.
Monter jusqu'à ta bouche et implorer ta pitié
comme un naufragé face à la mer.
La vie est l'espoir d'un psychotique qui anesthésie sa liberté pour être admis à l'asile.
L'agonie de Sylvia, cherchant désespérément son dernier vers
sans se rendre compte que les ténèbres enveloppaient impitoyablement son âme.
No hay comentarios:
Publicar un comentario